2020. Homélies des messes de Pentecôte

La fête de la Pentecôte est l’acceptation de la vie de l’Esprit où « chacun s’exprimait selon le don de l’Esprit. » C’est-à-dire en fonction de sa personnalité et sa responsabilité à rendre compte des talents que Dieu a mis dans sa vie. Toute notre vie depuis le baptême devrait être une Pentecôte permanente, dans cette recherche d’union à Dieu et de communion fraternelle. Oui, c’est l’heure du rassemblement dans une même fraternité de fils de Dieu.

Le don de Dieu a été premier dans la Création, nous invitant à une familiarité de sa présence et un échange dans le respect de nos natures propres. Or le don reçu a été défié par le péché originel et nous a valu cette rupture de la familiarité avec Dieu de manière naturelle, pour l’acquérir de façon surnaturelle, autrement dit par la grâce. Demander l’Esprit Saint c’est vouloir vivre la grâce de Dieu dans notre vie, c’est-à-dire la joie de Dieu dans nos relations à Lui et l’aboutissement avec nos frères. La manifestation du Christ à la résurrection et la contemplation de son œuvre dans notre vie nous montre le chemin qu’Il faut prendre avec l’aide de l’Esprit Saint. Le don à redécouvrir est celui de la familiarité avec Dieu. Par le baptême, la confirmation et l’eucharistie, nous sommes intégrés au peuple appelé au salut et témoins de la beauté de l’Evangile dans nos vies. Un témoignage exigeant qui demande un don total de soi en vue du Christ et un engagement dans la cité, chacun selon sa vocation propre. Le don de l’Esprit est appel à vivre l’amour de Dieu le Père en cohérence avec la promesse du salut du Christ. L’Esprit Saint vient faciliter notre vie pour être pleinement en Dieu, c’est-à-dire une vie de prière dans la disposition à la réalité de ce que nous avons à vivre, et par des actes et des paroles qui portent témoignage. Il y a une unité dans le don de l’Esprit Saint et une diversité dans l’appel de chacun à réaliser l’appel qui lui est propre. Comme une polyphonie de la joie de Dieu qui s’exprime, chacun selon ses talents : à l’un 5, à l’autre 2. Cette unité n’est pas une égalité, mais bien une même finalité de remplir sa vocation première d’aimé de Dieu et d’amoureux de Dieu par la Parole, la prière et la vie fraternelle. La vie de l’Esprit rend hommage à Dieu lorsque notre vie rend louange au Créateur. Alors tout est valorisé par la gratuité du don qui féconde notre vie et fait de nous des témoins vivants. Les deux homélies prononcées pour la Pentecôte entrent dans cet appel vibrant au témoignage.

Dimanche de Pentecôte 2020 Messe anticipée – 18 h

 « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive, celui qui croit en moi ! » La vie dans l’Esprit se fonde sur la foi et répond au désir de notre cœur de nous abreuver à la source d’eau vive. Il y a bien une régénération permanente de la foi par le don de l’Esprit Saint. La joie de croire nous ouvre au désir de Dieu et à la révélation de cette solitude intérieure, autrement appelée incomplétude, pour vouloir la communion avec Dieu, ce désir d’être complet avec Lui. Et nous sommes pour cela soutenus par la présence de l’Esprit Saint, qui agit en nous afin de nous ré-harmoniser en vue du projet créateur. Une restructuration de tout notre être pour être pleinement tourné vers Dieu. « L’Esprit Saint nous transforme, éclaire le chemin de l’avenir et fait grandir en nous les ailes de l’espérance. »[i] La vie en Dieu par la présence de l’Esprit Saint est le jaillissement de la lumière dans l’obscurité de nos sens, la communion retrouvée avec Dieu malgré nos limites humaines, la vie en plénitude dans un corps pourtant marqué par sa finitude. La vie de l’Esprit Saint est ce jaillissement de la présence divine qui donne un sens nouveau à tout ce que nous faisons, parce que nous sommes conduits par l’amour. Parce que nous nous conduisons en amoureux de Dieu et que notre logique devient celle de Dieu dans la méditation des Ecritures. Il transforme tout notre être et nous restaure dans l’intégrité de notre personne, pour nous faire agir avec confiance dans l’œuvre de Dieu.

 Quelle est l’eau que Dieu veut nous donner ? L’eau est l’élément central de notre vie, on peut rester des semaines sans manger, mais seulement quelques jours sans boire. 65 % de notre corps est composé d’eau. Mais dans la foi, notre vie spirituelle est composée par l’action conjuguée du Père et du Fils et du Saint Esprit. Or nous vivons avec le Père lorsque nous obéissons à ses commandements, nous suivons le Fils lorsque nous aimons nos frères et nous nous laissons guider par l’Esprit Saint lorsque nous faisons la vérité dans toutes nos actions. « Dans la foi, le « moi » du croyant grandit pour être habité par un Autre, pour vivre dans un Autre, et ainsi sa vie s’élargit dans l’Amour. Là se situe l’action propre de l’Esprit Saint. »[ii] C’est bien là où se situe notre témoignage, dans l’attention au souffle de l’Esprit dans notre vie et l’appel à nous laisser guider et lui faire confiance. Alors se manifeste la présence de Dieu au monde, dans une réalité tangible. Comme une présence qui devient visible à nos yeux, parce qu’enfin ils s’ouvrent à Dieu et la réalité de l’alliance offerte à tous. Une proximité de Dieu qui prend tous mes sens et me rend capable de Dieu. Ma vie en est transformée car l’amour a redonné sens à toute ma vie. Le feu brûlant dans mon cœur ouvre à un nouveau dynamisme des rencontres où le prochain est d’abord un frère à sauver par l’annonce de la Parole et la promesse de la grande espérance du salut. Il y a comme une transformation intérieure, où notre marche dans ce monde conduit à la communion avec Dieu dans la liberté d’un oui qui s’offre entièrement.

 C’est pourquoi on peut parler d’une liberté dans la vie de l’Esprit Saint, car non seulement il fait la vérité de l’amour mais encore il nous amène à conformer tous nos désirs à la communion avec notre Seigneur. Et donc les manifestations de l’Esprit peuvent se vivre dans l’esprit de service et d’humilité, parce que nous savons bien que tout vient de Dieu. Notre disponibilité à vivre de l’Esprit Saint fait de nous des témoins vivants d’une grâce qui ne demande qu’à s’offrir. Il nous guide dans sa sagesse, pour nous amener à contempler l’œuvre de Dieu en ce monde et être participant en prenant nos propres responsabilités. Et la première des responsabilités, c’est d’aimer dans la liberté du don. En cela l’Esprit Saint nous guide activement en vue du salut promis. « Mais c’est dans le Christ mort et ressuscité et dans l’effusion de l’Esprit Saint, donné sans compter[iii], que nous sommes rendus participants de l’intimité divine. »[iv] Alors nous pouvons parler toutes les langues, parce que nous sommes en communion. Le langage de l’amour ne s’arrête pas à des aspects grammaticaux, ou à des règles d’orthographe ou de prononciation, ce langage est d’abord une vie en relation, offerte, vécue et partagée dans le témoignage. « C’est donc en vertu de l’action de l’Esprit que le Christ lui-même demeure présent et agissant dans son Église, à partir du centre vital qu’est l’Eucharistie. »[v] Car, si nous sommes invités à témoigner de notre foi, c’est bien dans une communion réelle à Dieu et l’unité avec nos frères. Une même fraternité qui puise dans le mystère du Christ tout son sens, puisque c’est la Parole qui nous conduit et, dans le mystère de l’Esprit, le partage à travers le témoignage, un don de soi qui devient don de Dieu et grâce jaillissante pour la vie éternelle.

 Le jour de Pentecôte n’est pas l’anniversaire d’un événement passé mais bien un appel de jaillissement de la vie de Dieu en nous et un exemple à suivre dans l’accueil de l’Esprit Saint. La communauté chrétienne « …s’édifie avec des hommes, rassemblés dans le Christ, conduits par l’Esprit Saint dans leur marche vers le Royaume du Père et porteurs d’un message de salut qu’il faut proposer à tous. »[vi] C’est une vie en Dieu vécue à travers la richesse des dons de l’Esprit, supportés par une volonté de vivre les vertus afin de se laisser modeler pleinement par la Parole et de vivre selon nos propres responsabilités, et ainsi témoigner dans la communauté des charismes déployés pour le service de tous. Il y a des charismes qui se voient de manière particulière, dans la faculté à entrer en relation avec les autres, à rassembler autour de soi ou à enseigner ; d’autres charismes plus simples, et en même temps primordiaux, comme celui du service de la charité auprès des plus démunis, des malades et des personnes vivant des situations d’isolement. Néanmoins dans notre communauté, « sous la conduite de l’Esprit Saint, il y faut surtout le témoignage d’une foi vivante et adulte, c’est-à-dire d’une foi formée à reconnaître lucidement les difficultés et capable de les surmonter. »[vii]

 Que ce temps de Pentecôte soit celui d’un témoignage de vie qui, à travers toutes nos langues et nos cultures, sache nous faire parler le langage de Dieu dans la disponibilité avec nos frères et la gratuité de la relation que nous avons à vivre. L’Esprit Saint s’offre à chacun de nous comme présence de Dieu et don de la joie qui se déploie en nous selon nos propres capacités, c’est la force du don. La même grâce, selon les personnes, développe des dons différents mais en vue de la construction d’une même communauté humaine par le témoignage. « Plus en effet cette unité grandira dans la vérité et dans l’amour, sous l’action puissante de l’Esprit Saint, et plus elle deviendra un présage d’unité et de paix pour le monde entier. »[viii] Alors soyons des évangélisateurs par une vie de l’Esprit Saint et des témoins de la Parole par toutes nos actions. « De son cœur couleront des fleuves d’eau vive. »

Dimanche de Pentecôte 2020 – Messe du jour

« Tous furent remplis d’Esprit Saint » Ah que nous aimerions une Eglise où tous seraient pleinement remplis de l’Esprit Saint et porteraient un témoignage de feu à ce monde endormi dans sa complaisance. Que veut dire être rempli de l’Esprit Saint sinon se vider de soi-même pour faire place à Dieu ? Mais, non pas créer un vide, plutôt qu’être désencombré de soi-même pour accueillir la Personne Don. Une invitation à être disponible à la grâce de Dieu et à l’accueillir dans l’aujourd’hui de notre histoire. Et si nous sommes invités à parler d’autres langues, c’est chacun selon le don de l’Esprit. Comment peut-on parler d’autres langues chacun selon le don de l’Esprit ? Peut-être que le langage de Dieu dépasse nos représentations humaines, pour nous faire comprendre un autre mode de communication où Dieu se manifeste. Car dans le don de l’Esprit, le premier langage qui se manifeste est celui de l’amour. Et le premier charisme d’une communauté est la communion retrouvée. Les dons de l’Esprit se manifestent dans nos personnalités comme une symphonie de manifestation de la présence de Dieu en ce monde.

 Il vient dans nos cœurs pour manifester la présence de Dieu et nous invite à contempler Dieu. La venue de l’Esprit Saint dans notre vie est déjà l’expérimentation du don de la sagesse, parce que nous allons à l’essentiel, et que nous nous laissons guider par Lui. « Reconnaître cette dépendance complète par rapport au Créateur est une source de sagesse et de liberté, de joie et de confiance. »[ix] Il s’agit de retrouver un bon équilibre entre le désir de Dieu et l’émerveillement de sa présence dans ce monde. Se laisser guider sur un chemin de délices et recevoir l’héritage des fils de lumière, c’est-à-dire la grande espérance du salut, là où le cœur exulte parce qu’il est en communion avec Dieu. La puissance de Dieu se manifeste dans la sagesse de son œuvre, cette complémentarité entre sa manifestation et le juste équilibre avec notre responsabilité, que nous pouvons comprendre comme liberté, mais aussi comme complémentarité dans l’œuvre du Créateur. « Lorsque nous parlons de l’union de ces deux termes, entendez la puissance et la sagesse : ni les grandes œuvres, ni les merveilles ineffables de la création ne sauraient exister sans que d’un côté la sagesse ne conçoive leur venue à l’être et que de l’autre la puissance n’accompagne la sagesse. »[x] Il y a un équilibre entre la présence de Dieu et ce don qu’il nous fait, selon nos propres besoins d’une part, et la gratuité de la fécondité d’autre part. Car la Création n’est pas à considérer sous l’angle de l’utilité, mais bien de la louange au Créateur. La Personne Don, l’Esprit Saint nous introduit alors à cette sagesse, qui contemple ce qui est de l’ordre de l’action de grâce, de ce qui nous est profitable, afin d’ajuster nos désirs à ce qui est nécessaire et de se tourner vers Dieu et de continuer de le louer pour la beauté de son œuvre.

Mais en quoi l’Esprit de Sagesse est important pour notre vie ? Parce qu’Il invite au discernement « puisque juger est le fait du sage : aux deux façons de juger dont on peut faire état correspondent deux sagesses différentes. Il arrive en effet qu’on juge par inclination », c’est-à-dire dans une habitude puisée dans une vie vertueuse, on sait par expérience que manger trop nuit au sommeil. Le discernement nous fait opérer des choix pour habituer notre corps et notre âme à toujours rechercher l’harmonie avec Dieu, c’est cela la sagesse. « Mais il est une autre façon de juger, à savoir par mode de connaissance, comme celui qui est instruit de la science morale peut juger des actes d’une vertu, même s’il n’a pas cette vertu. »[xi] Comme par exemple, savoir les bienfaits de l’humilité, quand bien même nous sommes corrompus de nous-mêmes, autre définition de l’orgueil. La sagesse du discernement dans ce jugement par expérience ou par connaissance, s’acquiert aussi par le don de l’Esprit Saint qui, d’une part nous introduit à un autre mode de connaissance et nous révèle par la présence de Dieu sa science, et d’autre part éclaire notre vie pour saisir dans notre expérience personnelle ce que nous devons poursuivre et ce que nous devons abandonner.

Il s’agit d’être sage, non seulement en étudiant, mais encore par cette vie de communion avec Dieu. Et les deux sont nécessaires : trop souvent nous délaissons l’étude pour l’expérience, et Dieu supplée avec miséricorde à nos faiblesses en nous donnant les secours nécessaires, mais Il nous invite à déployer notre intelligence de la foi pour saisir ce qu’Il nous donne de contempler. La révélation de Dieu n’empêche pas l’étude et la réflexion pour approfondir le mystère et entrer dans une connaissance de plus en plus profonde de notre Sauveur par l’expérience de l’Esprit Saint. Car la sagesse venant de Dieu se vit dans la révélation et donc dans la manifestation de Dieu dans notre aujourd’hui, mais demande aussi notre participation par l’effort à fournir pour rechercher encore plus à discerner comment mieux aimer notre Seigneur. Il nous faut comprendre le don de la sagesse comme un va et vient, entre la révélation de Dieu qui éclaire notre existence et nous permet de faire des choix justes, et l’intelligence pour utiliser notre raison à poursuivre ce désir de Dieu et à l’ajuster au mieux dans tous nos actes, une recherche de la raison pour comprendre les mécanismes nécessaires à une vie bonne.

C’est pourquoi le don de la sagesse octroyé par l’Esprit Saint doit se comprendre dans le prolongement de la charité, parce qu’il y a bien une recherche amoureuse de l’union à Dieu, la saveur de sa présence en nous et au milieu de nous. L’amour est premier dans le sage discernement et non par la fidélité nécessaire dans la foi, ni même l’espérance du salut qui pourtant la supporte. Oui, la sagesse est d’abord un amour de Dieu qui désire contempler son œuvre et discerner comment le faire de la meilleure façon possible dans une vie de sainteté. « Qui donc, en entendant les noms de l’Esprit ne sent bondir son cœur et n’élève son esprit vers la nature qui surpasse tout ? On le dit Esprit de Dieu, Esprit de vérité, qui procède du Père et du Fils, Esprit de rectitude, Esprit qui régit tout, Esprit Saint enfin, son nom par excellence. Vers lui se tournent tous ceux qui cherchent la sanctification, vers lui s’élance le désir des saints qui sont comme rafraîchis par son souffle. »[xii] La Sagesse est donc révélation de Dieu et en même temps demande la ferveur pour la prolonger, dans la prière et la méditation des Ecritures, et continuer d’y tourner tout notre être, par un effort de connaissance, afin d’ajuster notre discernement à la volonté de Dieu et aux signes de l’Esprit. « Dans la contemplation on cherche le principe, qui est Dieu ; dans l’action au contraire, on peine sous le fardeau de la nécessité. »[xiii] Mais le principe de réalité demande que notre contemplation amène à des fruits de conversions et à une connaissance qui chante les louanges de la création. Et c’est en cela que nous devons sauvegarder la maison commune qui est notre terre, c’est ce que nous révèle le don de la sagesse.

Il s’agit d’opérer un discernement sur l’œuvre de création et de juger nos actions à l’aune des Ecritures. « Précisément en raison de sa dignité unique, et par le fait d’être doué d’intelligence, l’être humain est appelé à respecter la création avec ses lois internes car « le Seigneur, par la sagesse, a fondé la terre »[xiv] et l’Esprit Saint vient nous révéler la splendeur de ce projet de création. Or, parfois obnubilés par une vision utilitariste de voir la création comme objet de convoitise, nous passons à côté de sa luxuriante gratuité. Ce qui est bon n’est pas forcément profitable nous dit saint Paul. L’Esprit en nous révélant les choses d’en haut continue d’éclairer notre conscience de l’œuvre de Dieu. Et cela passe par la relation fraternelle et les échanges que nous essayons d’établir. « La vraie sagesse, fruit de la réflexion, du dialogue et de la rencontre généreuse entre les personnes, ne s’obtient pas par une pure accumulation de données, qui finissent par saturer et obnubiler comme une espèce de pollution mentale. »[xv] Elle est d’abord orientée vers la prière et l’esprit de piété vers Dieu, car de Lui vient notre salut. C’est à travers la contemplation de son œuvre, que nous pouvons juger comment obéir à Dieu et lui rendre un culte agréable, dans la fidélité à sa Parole de vie. « La sagesse n’apporte ni amertume ni labeur aux actes humains qu’elle dirige. A cause d’elle au contraire, l’amertume se tourne plutôt en douceur et le labeur en repos »[xvi] parce que nous vivons tout cela en confiance avec Dieu. C’est Lui qui porte notre joug, le rend léger et continue sur le chemin à rendre notre cœur tout brûlant en se révélant dans les Ecritures.

La sagesse est ce rayon de lumière qui éclaire tous les dons de l’Esprit et nous rend présents à la présence de Dieu ; alors, nous sommes habités par le bonheur d’être tout en Dieu et nous nous laissons remplir, jusqu’à l’intime, de cette révélation qui nous fait agir autrement. Demandons à l’Esprit Saint d’être toujours là et continuons de marcher avec confiance. « Donne mérite et vertu, donne le salut final, donne la joie éternelle. Amen. »

Père Greg BELLUT, Curé de Saint-Charles Borromée

Sources

  • [i] &7 Lumen Fidei
  • [ii] &21 Lumen Fidei
  • [iii] cf. Jn 3, 34
  • [iv] &8 Sacramentum Caritas
  • [v] &12 Sacramentum Caritas
  • [vi] &1 Gaudium et spes
  • [vii] &5 Gaudium et spes
  • [viii] 92/3 Gaudium et spes
  • [ix] &301 CEC
  • [x] St Grégoire de Nysse – Corps du Traité
  • [xi] ST  i- i q 1a6
  • [xii] Art Esprit Saint p 290 citant Basile de Césarée
  • [xiii] ST II-II Q 45 a 3 citant St Grégoire le Grand
  • [xiv] &69 Laudato Si
  • [xv] &47 Laudato Si
  • [xvi] &ST II-II Q 45 art 3

Homélies à télécharger en .pdf