« …Ne crains pas, crois seulement… »
Jésus arrive à Capharnaüm, où l’attend une grande foule. Deux personnes guettent sa venue avec un besoin et une foi inhabituelle : le chef de la synagogue, Jaïre, dont la fille est sur le point de mourir, et une femme qui souffre d’une longue maladie pour laquelle elle avait dépensé toute sa fortune.
Jésus s’est arrêté pour réconforter cette femme. C’est alors que l’on communique au chef de la synagogue : Ta fille vient de mourir. A quoi bon déranger encore le Maître ?
Ils arrivent à la maison de Jaïre et voient l’agitation, ceux qui pleurent et les pleureuses spécialisées. En entrant, Jésus leur dit : Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte ; elle dort. Ils ne comprennent pas encore, que pour Dieu, tout est possible.
Si nous croyons que Jésus est mort et ressuscité, pareillement aussi Dieu ramènera par Jésus ceux qui seront morts en lui. Il fera à notre égard ce qu’il fit avec Lazare. Dit-il: Notre ami Lazare dort, mais je vais aller le réveiller.
N’oublie pas, qu’il n’est, pour toi, qu’un mal à craindre et à éviter sur terre par la grâce divine, le péché, car la mort de l’âme c’est de ne pas voir Dieu ; c’est perdre toute relation avec lui. Jésus montre aux apôtres que le fondement de notre rapport avec Dieu réside dans le fait qu’il est notre Seigneur, et que nous devons nous sentir concerner par sa volonté et l’accomplir.
Nous devons vivre notre foi. Nous devons témoigner notre foi par notre vie de chaque jour. La foi, ce n’est pas seulement dire que je crois, mais il faut montrer qu’on croit. Nous ne devons pas être des chrétiens pratiquants, mais soyons plutôt des chrétiens vivants et engagés. Soyons, des serviteurs inutiles. Car le serviteur inutile ne fait que son travail dans un désintéressement complet. Il ne fait que son devoir. Dieu nous laisse la liberté de demander, alors laissons la liberté à Dieu de nous donner quand il veut, comme il veut.
Frères et sœurs, croyez en Jésus et vous recevrez tout ce dont vous avez besoin, mais seulement, sachez être patients, sachez accueillir les dons de Dieu. Sachez- vous rendre charitable.